La Déesse Vanth dans les Textes et l’Art avant le IIIème siècle av. J-C. (Étrurie).

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Introduction

Le travail qui suit portera sur une divinité étrusque du nom de Vanth, qui a créé plusieurs débats à l’intérieur de la communauté scientifique, notamment dû au fait que son iconographie est l’une des plus intrigantes. Il s’agit donc de résumer tout ce que l’on sait de ce personnage mythologique jusqu’à présent, en passant par les sources archéologiques et les études faites par les spécialistes. Comme le mentionne G. Spinola, la divinité peut souvent être confondue avec les «Lasa», les Furies, ou autres divinités du Panthéon étrusque[1]. Vanth se définie généralement comme suit : c’est un démon de l’au-delà qui annonce la mort et garde les tombes[2]. Elle apparait généralement ailée, dans le domaine funéraire, souvent accompagnée de la divinité Charun et participe aussi dans les scènes mythologiques[3]. La racine de son nom, Van, pourrait appartenir au domaine des tombes et de la mort[4]. Les origines de la déesse laissent encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre. La plus vieille représentation de cette dernière, jusqu’à ce jour, serait sur une urne funéraire en calcaire du Vème siècle av. J-C., trouvée à Chianciano [5](fig. 1. LIMC,Vanth 45). Voici donc un portrait général de ce qui est connu sur ce personnage mythologique chtonien aujourd’hui, mais le but du travail sera d’étudier encore plus en profondeur cette déesse grâce aux sources anciennes, et d’en faire ressortir les plus intéressantes théories modernes. Pour ce faire, nous commencerons notre recherche sur les sources écrites étrusques. Par la suite, il sera essentiel de faire une étude précise de l’iconographie de Vanth, à travers les documents archéologiques qui nous sont parvenus aujourd’hui. En dernière section, il pourrait être intéressant de mentionner les théories sur l’origine et le rôle de la divinité qui sont le plus présentes dans les ressources historiographiques. Il faut cependant soulever un fait sur la religion étrusque pour bien entrer dans le contexte du sujet. L’ekphora faisait partie de la nature des rites en Étrurie, c’est d’ailleurs dans cette procession que Vanth et Charun apparaissent de façon régulière[6]. On peut donc tirer de ces informations que la divinité est toujours en contact avec la mort, ainsi que l’au-delà.

Sources Écrites

Il s’agira certainement de la section la plus courte de ce travail. Comme l’a écrit D. Briquel :

« Les étruscologues actuels ont tous simplement compris que, devant toutes ces belles représentations que n’éclaire aucun texte, devant ce langage figuratif dépourvu de clé, il est prudent de ne pas se jeter sur un type d’interprétation donnée, et peut-être surtout celui qui nous vient le plus naturellement à l’esprit et qui peut avoir été déterminé par nos propres catégories de modernes marqués par une tradition particulière»[7].

Les sources écrites sur la déesse Vanth sont quasi inexistantes. Comme le mentionne D. Briquel, il n’y a aucun texte qui explique les fresques que l’on retrouve dans les tombes, les personnages sur les urnes, etc. L’unique façon d’identifier un personnage, une divinité, c’est d’avoir la chance de voir apparaitre son nom au-dessus de sa représentation iconographique, faut-il encore qu’il soit dans un état de conservation assez important, afin que les spécialistes puissent le déchiffrer. C’est d’ailleurs grâce à cette méthode qu’on a pu identifier clairement et officiellement la plus ancienne représentation de la déesse Vanth dans la Tombe François (fig. 2)[8]. Cette absence de sources littéraires, comme l’écrit encore une fois D. Briquel, nous laisse la voie ouverte au niveau de l’interprétation, ce qui s’avère être en bout de ligne extrêmement problématique. Comme nous le verrons plus tard, ceci peut expliquer le grand nombre de théories en lien avec l’origine de la déesse. S’il n’y a pas grand-chose qui est écrit sur Vanth, la déesse elle-même aurait pu (ironiquement pour ceux qui travaillent sur le sujet) être reliée à la divulgation de la littérature. La figure de Chianciano (fig. 1. LIMC, Vanth 45), qui serait la plus ancienne représentation de cette divinité, la montre prenant part au banquet et tenant un liber partiellement déroulé. G. Colonna propose une explication pour cette scène. Le fait qu’un liber déroulé soit représenté, montrerait la valeur et le pouvoir de l’écriture. Il s’agirait d’un signe de la participation de la classe sacerdotale au niveau de l’utilisation et de la propagation des écrits (litterae)[9]. Il est donc difficile de relier autrement Vanth à la littérature. Les archéologues pourront peut-être trouver de nouvelles sources épigraphiques qui nous éclairerons d’avantage sur le sujet, mais pour le moment, il serait plus intéressant de passer directement à l’iconographie.

Attributs Iconographiques Généraux

Si les sources littéraires composaient un faible registre, c’est tout-à-fait le contraire au niveau des représentations de la divinité dans les tombes étrusques ou bien sur les urnes funéraires. Comme mentionné en introduction, les attributs de la déesse peuvent porter à confusion. Lorsque son nom n’est pas inscrit, il est parfois trompeur de l’identifier, plus précisément si elle n’est pas illustrée avec ses attributs principaux. Il peut donc y avoir confusion avec d’autres divinités chtoniennes, les Lasa, ou bien les Furies. Tout d’abord, cette divinité anthropomorphique est représentée en jeune femme sur toutes les sources archéologiques trouvées. Vanth est donc souvent reproduite avec un volumen, qui peut parfois porter le nom du défunt, son «cursus honorum» ou le nom de la déesse même[10]. Son attribut le plus important est toutefois une torche qui montrerait l’importance de son rôle funéraire (fig. 3. LIMC, Vanth 4), cet objet est utilisé principalement dans les scènes statiques lorsque la déesse est arrêtée[11]. De plus, il est possible d’observer sur ses nombreuses représentations qu’elle porte souvent une tunique courte, des grandes bottes de chasse, une ceinture abdominale croisée, ayant parfois la poitrine dénudée avec plusieurs bracelets aux poignets[12]. Une autre des caractéristiques principales qu’on ne peut ignorer, c’est le fait qu’elle est ailée sur pratiquement toutes les pièces l’illustrant. Dans le LIMC, seule la Vanth 44 est représentée sans ailes[13]. On peut cependant l’identifier en tant que Vanth, puisque tous les autres attributs spécifiés plus haut ont été représentés, comme la torche, la tunique, les bottes, la ceinture abdominale, etc. Les représentations d’êtres anthropomorphiques ailés sont datées du VIIème siècle av. J-C. dans l’iconographie étrusque[14]. Parmi les caractéristiques qui lui sont associées et qui sont aussi associées à une grande partie des divinités chtoniennes étrusques, il y a la présence de serpents. Vanth en brandit fréquemment dans ses figurations[15]. Il est donc possible de s’imaginer qu’un tel personnage mythique, autant associé aux choses funèbres, puissent avoir été l’équivalent d’une entité maléfique pour les Étrusques. En réalité, c’est tout le contraire. Comme l’écrit D. Briquel, les démons ne punissent pas les individus, ils auraient plutôt un rôle d’annonciateur de la mort. Il cite L. Banti qui explique que jamais la torche de Vanth ne brûle, ni le marteau de Charun ne frappe[16]. Il conclut alors qu’il s’agit de divinités psychopompes, qui accompagnent le mort dans l’au-delà, ils ne sont donc pas l’équivalent pour les Étrusques des démons de la tradition du Christianisme. La Tombe François de Vulci (fig. 2) nous permet d’observer une fresque qui se démarque particulièrement des autres au niveau de l’iconographie de Vanth. C’est la scène du sacrifice des prisonniers troyens (Sacrificio dei prigionieri troiani) qui se trouve aujourd’hui à la Villa Albani de Rome[17]. Selon G. Spinola, la fresque daterait du dernier quart du IVème av. J-C[18], cependant, O. J. Brendel la place au milieu IIIème siècle av. J-C[19]. La représentation de la déesse pourrait être la cause de cette confusion et de cette incertitude. En effet, comme mentionné plus haut, le nom de la déesse apparait au-dessus de celle-ci[20]. O. J. Brendel la qualifiera de la plus aimable illustration de Vanth[21]. La déesse se tient derrière un des Grecs qui effectue le sacrifice, elle a un regard paisible et ses grandes ailes sont de couleur arc-en-ciel. Elle porte également un chiton long, contrairement à sa tunique habituelle. De plus, elle ne tient aucune torche, aucun serpent et le volumen n’y apparaît pas. Selon G. Spinola, qui a fait une étude particulièrement profonde sur cette figure, cette Vanth est différente des autres puisqu’elle s’insère dans un but précis, celui d’«étrusquiser (etruschizzare)» un prototype grec déjà connu[22]. Maintenant que le portrait de la déesse est dressé, il sera intéressant de regarder les hypothèses modernes concernant son origine et son rôle dans la religion étrusque.

Fonction et Origine

Tous les auteurs modernes s’accordent pour dire que Vanth joue un rôle de divinité psychopompe. L’iconographie de la déesse permet d’en tirer les mêmes conclusions, la présence de la torche, les serpents, ainsi que les ailes démontrent les caractéristiques chtoniennes de la divinité. P. J. Holliday mentionne que la procession représente le voyage dans l’au-delà, celle-ci est identifiée par la présence de Vanth ou de Charun qui ont la fonction de guide[23]. Comme nous l’avons mentionné précédemment, la déesse aurait pu également avoir un rôle dans la propagation de la littérature au niveau de la classe sacerdotale, en plus de son rôle de psychopompe, comme le montre la figure de Chianciano (fig. 1. LIMC, Vanth 45)[24]. Nous avons en outre vu plus haut que D. Briquel soutient l’hypothèse de L. Banti, laquelle explique que ces démons n’ont pas un rôle de persécuteurs, mais qu’ils ne sont en réalité que des accompagnateurs des défunts dans le curieux voyage qu’est celui qui mène à l’au-delà[25]. A. Tuck la conçoit également comme une messagère de la mort, il rapporte aussi la thèse de R. C. De Marinis, qui la verrait comme une représentation physique de la mort elle-même[26]. Il conviendrait donc de se poser quelques questions sur l’origine de cette divinité, qui est encore considérée aujourd’hui comme étrange pour les spécialistes. Les auteurs modernes s’expliquent de façon bien différente l’origine de cette déesse, mais ils s’appuient tous sur un fait : la Vanth montre un changement d’humeur ou de mentalité chez les Étrusques[27]. La cause de ce changement demeure le point central des recherches sur l’origine de celle-ci. L’hypothèse la plus originale, bien qu’elle apporte également quelques problèmes qui seront mentionnés par la suite, est celle d’A. Tuck. L’auteur conclu dans son article, après une étude approfondie de plusieurs pièces archéologiques, que la déesse Vanth aurait une origine celtique, dû aux contacts grandissant entre les Étrusques et les Celtes au moment où la divinité commence à être représenter dans les tombes et sur les urnes de façon beaucoup plus fréquente[28]. Il se fit également à l’iconographie de la déesse, notant que sur les urnes de Volterra, la déesse porte une torque, un collier porté fréquemment par les populations celtiques[29]. Le premier problème avec cette vision, c’est qu’elle ne donne comme exemple que les urnes de la région de Volterra. Comme nous l’avons vu plus haut, des représentations de Vanth comme celle de la Tombe François peuvent s’éloigner de l’iconographie traditionnelle, tout en étant toujours identifier comme Vanth. Peut-être que l’invasion des Celtes vers le IV et le IIIème siècle en Italie centrale serait la cause de ce changement de moral ou de mentalité qui a amené les Étrusques à représenter plus fréquemment la déesse. Ceci ne prouve cependant pas qu’elle ait une origine étrangère. De plus, A. Tuck écrit que l’absence de représentation contemporaine à Vanth de Badb, une divinité qui aurait un rôle similaire à celle-ci dans la mythologie celte, ne contredirait pas le fait que les deux personnages soient reliés[30]. L’auteur fait notamment la comparaison entre plusieurs personnages du folklore irlandais du Moyen-Âge, dont Badb, et la divinité étrusque[31]. Il est cependant risqué de faire ce genre d’interprétation si l’on revient à ce que D. Briquel expliquait. Les chercheurs sont tentés de faire des liens qui leur semblent logiques au point de vue historiographique, alors qu’en fait, il ne faut pas aborder l’iconographie funéraire étrusque avec cette vision. Il faut toutefois noter que la théorie d’A. Tuck n’est pas mauvaise non plus, il manque cependant quelques preuves qu’un jour l’archéologie permettra peut-être d’éclairer. Du coup, il pourrait être possible que seules les représentations de Vanth dans la région de Volterra aient subie cette influence étrangère. Les illustrations de la déesse se sont cependant propagées partout en Étrurie. F.H. Massa-Pairault explique notamment l’identificaiton récente d’une Vanth et d’un Charun par E. Pellegrini dans le temple de Poggio Pesce, près de Volsinii (Bolsena)[32]. De plus, nous avons amplement fait référence à la Tombe François, qui elle provient de Vulci. L’auteur G. Spinola écrit que les attestations épigraphiques en lien avec la déesse Vanth proviennent spécifiquement d’Étrurie centrale, autant maritime qu’interne[33]. L’utilisation de la déesse Vanth ne se limite donc pas seulement à la région de Volterra. Retournons une dernière fois à cette fantastique tombe de Vulci. Il fut déjà mentionné que G. Spinola voyait en l’origine de la représentation de la Vanth dans la Tombe François une sorte d’«étrusquisation» d’un prototype grec. L’auteur écrit que cette illustration de la déesse est nettement distincte des Érinyes grecques, mais qu’elle se rapproche beaucoup au niveau du visage et du caractère d’Hécate, divinité infernale grecque[34]. Il serait donc possible, selon ce même auteur, que les Étrusques se soient créés leur propre triade infernale féminine, en se basant sur le modèle grec[35]. Cette théorie laisse donc croire à une évolution plus locale du personnage, les étrusques ayant depuis longtemps de grands liens commerciaux avec les Grecs. Ils se seraient donc inspirés de ce qu’ils connaissaient déjà à travers l’iconographie mythologique représentée sur les objets qu’ils obtenaient lors des échanges avec les helléniques.

Conclusion

Les études modernes permettent donc de dresser un portrait assez bien complet de la déesse Vanth, qui apparait finalement beaucoup moins mystérieuse. Les sources écrites ne nous permettaient pas de connaître le rôle du personnage, mais son iconographie nous l’a cependant permis. Bien que l’origine et l’évolution de la représentation de Vanth demeurent des sujets ouverts aux nouvelles théories, il est plus prudent pour le moment, d’y voir une origine locale, soit de l’Étrurie même. Les chercheurs comme D. Briquel nous avertissent sur le «danger» d’interpréter les sources funéraires étrusques, puisqu’aucun texte ne nous est parvenu. Il faut tenter de reconstruire tout en se fiant qu’aux images qui ont survécus, par chance pour nous, à la détérioration naturelle. Il faut également prendre en considération que les fresques d’une tombe sont destinées aux morts[36] et non aux archéologues du futur, ce qui peut nous apporter quelques problèmes supplémentaires au niveau de l’interprétation. Pour conclure, il serait intéressant de rapporter les propos de G. Spinola. Autant l’on voyait Vanth comme une déesse terrible, un démon de la mort annonciateur de malheur, autant on se permet aujourd’hui de la voir plutôt comme une accompagnatrice dans le monde inquiétant qu’est l’au-delà, rassurant le défunt en le guidant grâce à sa torche, lui permettant ainsi de quitter de façon moins douloureuse le monde des vivants[37].

Xavier B. Morency

Étudiant au baccalauréat en Histoire à l’Université de Montréal

Abréviations

LIMC : Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae

Indices Géographiques de la répartition des pièces avec Vanth[39]

  1. Roma, Roma, Lazio. (Repère géographique)
  2. Tarquinia, Viterbo, Lazio.
  3. Vulci (Velch), Viterbo, Lazio.
  4. Cerveteri (Caere), Roma, Lazio.
  5. Volterra (Velathri), Pisa, Toscana.
  6. Chiusi (Clusium), Siena, Toscana.
  7. Orvieto (Volsinii), Terni, Umbria.
  8. Perugia, Perugia Umbria.
  9. Bolsena (Volsinii Novi), Viterbo, Lazio.

 

  • Sources Anciennes
  1.  Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae (Organisation), Artemis Verlag, Zurich, 1981-2009, V. VIII-2, p. 122 à 127.
  1. Vanth 4 dans LIMC, Tomba degli Anina. Tarquinia.
  2. Vanth 5 dans LIMC, Bolsena. Londres, British Museum.
  3. Vanth 12 dans LIMC, Torre San Severo. Orvieto, Museo Civico.
  4. Vanth 15 dans LIMC, Tarquinia, Tarquinia. Museo Nazionale.
  5. Vanth 16 dans LIMC, Orvieto. Orvieto, Museo Civico.
  6. Vanth 18 dans LIMC, Sarteano. Sienne, Museo Archeologico.
  7. Vanth 19 dans LIMC, Inconnue. Boston, Museum of Fine Arts.
  8. Vanth 20 dans LIMC, Vulci, Ponte Rotto. Vulci, Museo Nazionale.
  9. Vanth 21 dans LIMC, Tomba Golini I. Orvieto, Museo dell’Opera del Duomo.
  10. Vanth 27 dans LIMC, Tomba degli Anina, Fondo Scataglini, Tarquinia.
  11. Vanth 34 dans LIMC, Inconnue. Tarquinia, Museo Nazionale.
  12. Vanth 35 dans LIMC, Poggio del Cavaluccio, Tarquinia. Tarquinia, Museo Nazionale.
  13. Vanth 36 dans LIMC, Bomarzo. Londres, British Museum.
  14. Vanth 38 dans LIMC, Volterra. Volterra, Museo Guarnacci.
  15. Vanth 39 dans LIMC, Inconnue. Volterra, Museo Guarnacci.
  16. Vanth 40 dans LIMC, Inconnue. Volterra, Museo Guarnacci.
  17. Vanth 41 dans LIMC, Chiusi. Worcester, Worcester Art Museum.
  18. Vanth 42 dans LIMC, Chiusi. Arezzo, Museo Archeologico.
  19. Vanth 43 dans LIMC, Inconnue. Perugia.
  20. Vanth 44 dans LIMC, Inconnue. Berlin, Staatliche Museum.
  21. Vanth 45 dans LIMC, Chianciano. Florence, Museo Archeologico.
  22. Vanth 47 dans LIMC, Inconnue. Copenhague, Glyptotek.
  23. Vanth 49 dans LIMC, Tomba della Pellegrina. Chiusi.
  24. Vanth 50 dans LIMC, Vulci. Vatican, Museo Gregoriano Etruscho.
  1. Sacrificio dei prigionieri troiani. Tomba François, Vulci. Rome, Villa Albani.
  • Travaux

A. Instruments de Travail/Encyclopédies :

  1. Amman, P. «Vanth», Brill’s New Pauly. Édition des volumes antiques par H. Cancik et H. Schneider. Consulté sur le site de Brill en ligne, le 19 Octobre 2015. http://referenceworks.brillonline.com/entries/brill-s-new-pauly/vanth-e1228390?s.num=0&s.f.s2_parent=s.f.book.brill-s-new-pauly&s.q=Vanth.
  2. Cristofani, M. Dizionario illustrato della civiltà etrusca. Florence. Giunti Gruppo Editoriale. 1999. 340 P.
  3. Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae (Organisation), Artemis Verlag, Zurich, 1981-2009, V. VIII, p. 173 à 179.
  4. Lindemans, M. F. «Vanth», Encycopedia Mythica. Encyclopedia Mythica en ligne, page consulté le 16 Septembre 2015. http://www.pantheon.org/articles/v/vanth.html.
  5. Prayon, F. «Lasa», Brill’s New Pauly. Édition des volumes antiques par H. Cancik et H. Schneider. Consulté sur le site de Brill en ligne, le 16 Septembre 2015. http://referenceworks.brillonline.com/entries/brill-s-new-pauly/lasa-e631890?s.num=1&s.f.s2_parent=s.f.book.brill-s-new-pauly&s.q=Vanth.

B. Ouvrages Généraux :

  1. Brendel, O. J. Etruscan Art. R. Serra Ridgway, Francesca. 2ème éd. New Haven et Londres. Yale University Press, 1995. P. 321-323, 338, 348, 380, 382-385, 414, 422, 424, 426.

C. Articles récents :

  1. Bendinelli, G. Arte e credenze etrusche dell’oltretomba studiate sopra un’urna cineraria Volterrana. RPAA. Rome. V. 1928. P. 41-57. Non vidi.
  2. Bloch, R. Processus d’assimilations divines dans l’Italie des premiers siècles, Les syncrétismes dans les religions de l’antiquité. 22-23 Octobre 1973. Besançon. 1975. P. 112-122. Non vidi.
  3. Bonfante, G. Religione e mitologia in Etruria. SE. LIV. 1986. P. 113.
  4. Briquel, D. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 263-277.
  5. Champeaux, J. Arnobe et l’Étrurie : ses «disciples», ses dieux, ses rites, La divination dans le monde étrusco-italique. VIII, Des Sévères à Constantin : les écrivains du IIIème siècle et l’«Etrusca disciplina». Acte de la table ronde tenue à l’ENS. 24 et 25 Octobre 1997. Tours. 1999. P. 135-164.
  6. Chiadini, G. Lasa in Etruria. AIIS. XVII. 2000. P. 3-29.
  7. Colonna, G. Scriba cum rege sedens, L’Italie préromaine et La Rome républicaine. Mél. Heurgon. Collection de l’École française de Rome. XXVII. P. 187-195.
  8. Cristofani, M. Ricerche sulle pitture della tomba François di Vulci, I fregi decorativi. DialA. I. 1967. P. 186-219. Non vidi.
  9. Delplace, C. Catalogue des urnes et couvercles de la collection Inghirami de Volterra. BIBR. XLI. 1970. P. 5-16. Non vidi.
  10. Enking, R. Culsu und Vanth, RM. LVIII. 1943. P. 48-69. Non vidi.
  11. Gagé J. De Tarquinia à Vulci, Les guerres entre Rome et Tarquinia au IVème siècle av. J-C. et les fresques de la Tombe François. MEFR. LXXIV. 1962. P. 79-122.
  12. Haynes, S. The winged female figure in the funerary sculpture of Chiusi of the classical period, La civiltà di Chiusi e del suo territorio. Atti del XVII Convegno di studi etruschi ed italici, 1989. Chianciano Terme. 1993. P. 297-307. Non vidi.
  13. Holliday, P.J. Processional Imagery in Late Etruscan Funerary Art, American Journal of Archaeology. XCIV, (Num. 1.). 1990. P. 73-93.
  14. Jannot, J-R. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 279-291.
  15. Manino, L. Semantica e struttura della figura demoniaca nel pittore orvietano della «Vanth», AnnFaina. I, 1980. P. 59-72. Non vidi.
  16. Mansuelli G. A. Studi sugli specchi etruschi, IV. SE. XX. 1948-1949. P. 58-98. Non vidi.
  17. Massa-Pairault, F. H. Entre Orvieto et Bolsena dans Mélange de l’école française de Rome-Antiquité (En ligne). P. 14. Mis en ligne le 18 Décembre 2014, consulté le 16 Octobre 2015. http://mefra.revues.org/2584.
  18. Massa-Pairault, F-H. Problemi di lettura della pittura funeraria di Orvieto. DArch. I, (IIIA’S. Num. 2). 1983. P. 19-42. Non vidi.
  19. Massa-Pairault, F-H. «Vanth» et la Tombe François : Adrasteia et le sarcophage de Gümüsçay, Archéologie et histoire de l’art, religion. Mél. C. Deroux/éd. Par P. Defosse. Bruxelles. Latomus. XXIII. P. 42-49. Non vidi.
  20. Paschinger, E. Die etruskische Todesgöttin Vanth. Österreichisches Archäologisches Institut. Vienne. XIX, (Num. 1). P. 39-45. Non vidi.
  21. Paschinger, E. Eine bisher übersehene, achte Namensbeischrift der etruskischen Todesgöttin Vanth. Österreichisches Archäologisches Institut. Vienne. 1989 XX, (Num. 4). 1989. P. 57-61. Non vidi.
  22. Rallo, A. Lasa, Iconografia e esegesi. Florence. XII. 1974. P. 49-53.
  23. Scheffer, C. Harbingers of Death? The Female Demon in Late Etruscan Funerary Art, Munuscula Romana. Stockholm. 1991. P. 51-63. Non vidi.
  24. Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 56-67.
  25. Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 251-263
  26. Vacano O. W. V. Vanth-Aphrodite, Ein Beitrag zur Klärung etruskischer Jenseitsvorstellungen, Hommages à A. Grenier. Éd. Par M. Renard. Berchem-Bruxelles. Latomus, LVIII. 1962. P. 1531-1553. Non vidi.
  27. Weber-Lehmann, C. Die sogenannte Vanth von Tuscania, Seirene-Anasyromene. JDAI. CXII. 1997. P. 191-246. Non vidi.
  28. Zmigryder-Konopka, Z. Charun et Tuchulcha, Dziwy zaswiata etruskiego. Przeglad Hist. XXXV. 1939. P.10. Non vidi.

[1] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 56.

[2] Amman, P. «Vanth», Brill’s New Pauly. Consulté sur le site de Brill en ligne, le 19 Octobre 2015.

[3] Idem.

[4] Krauskopf, I. Vanth dans Dizionario illustrato della civiltà etrusca. Dir. Par M. Cristofani. Florence. Giunti Gruppo Editoriale. 1999. P. 315.

[5] Colonna, G. Scriba cum rege sedens, L’Italie préromaine et La Rome républicaine. Mél. Heurgon. Collection de l’École française de Rome. XXVII. P. 191.

[6] Jannot, J-R. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 280.

[7] Briquel, D. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 264.

[8] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 56.

[9] Colonna, G. Scriba cum rege sedens, L’Italie préromaine et La Rome républicaine. Mél. Heurgon. Collection de l’École française de Rome. XXVII. P. 192.

[10] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 61.

[11] Idem.

[12] Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 251.

[13] Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae (Organisation), Artemis Verlag, Zurich, 1981-2009, V. VIII-2, p. 126.

[14] Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 252.

[15] Briquel, D. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 265.

[16] Idem.

[17] Brendel, O. J. Etruscan Art. R. Serra Ridgway, Francesca. 2ème éd. New Haven et Londres. Yale University Press, 1995. P. 414.

[18] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 56.

[19] Brendel, O. J. Etruscan Art. R. Serra Ridgway, Francesca. 2ème éd. New Haven et Londres. Yale University Press, 1995. P. 414.

[20] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 56.

[21] Brendel, O. J. Etruscan Art. R. Serra Ridgway, Francesca. 2ème éd. New Haven et Londres. Yale University Press, 1995. P. 414.

[22] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 62.

[23] Holliday, P.J. Processional Imagery in Late Etruscan Funerary Art, American Journal of Archaeology. XCIV, (Num. 1.). 1990. P. 82.

[24] Colonna, G. Scriba cum rege sedens, L’Italie préromaine et La Rome républicaine. Mél. Heurgon. Collection de l’École française de Rome. XXVII. P. 192.

[25] Briquel, D. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 265.

[26] Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 251.

[27] Brendel, O. J. Etruscan Art. R. Serra Ridgway, Francesca. 2ème éd. New Haven et Londres. Yale University Press, 1995. P. 338.

[28] Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 258.

[29] Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 257.

[30] Idem.

[31] Tuck, A. S. On the origine of Vanth: death harbingers and banshees in the Etruscan and Celtic world, Etruria and early Rome. Éd. Par S. Bell et H. Nagy. XXIV. P. 254.

[32] Massa-Pairault, F. H. Entre Orvieto et Bolsena dans Mélange de l’école française de Rome-Antiquité (En ligne). P. 14. Mis en ligne le 18 Décembre 2014, consulté le 16 Octobre 2015. http://mefra.revues.org/2584.

[33] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 62.

[34] Idem.

[35] Idem.

[36] Jannot, J-R. Regards étrusques sur l’au-delà, La mort, les morts, l’au-delà dans le monde romain. Colloque de Caen sous la direction de F. Hinard, 1985. 1987. P. 281.

[37] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 63.

[38] Spinola, G. Vanth, osservazioni iconografiche, Rivista di Archeologia. XI. 1987. P. 57.

[39]Carte créée avec le logiciel Google Earth, le 20 Octobre 2015. US Dept of State Geographer, Image Landsat, Data SIO, NOAA, U.S. Navy, NGA, GEBCO. Google 2015.

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